Le SIDA induit par la vaccination est une problématique dont il faut discuter, immédiatement.
Voici mon
commentaire sous la
publication de Karine Simard qui annonce une entrevue avec Manon Coutu pour aller au fond de cette question de SIDAvax (en anglais, on voit le mot "
VAIDS").
Merci à toi Karine et à Philippe d'avoir évoqué ce sujet encore délicat pour les consentistes.
Ceci dit, en raison du risque de contamination, ça concerne aussi les non-vaccinés (ici et ailleurs).
En plus de l'extrait avec Philippe et du suivi de vendredi avec
Manon, je recommande ce court vidéo du
Dr Robert Malone qui explique qu'il s'agit d'une immonudéficience "acquise" (par la mutli-v---) des cellules T (les cellules tueuses de notre système immunitaire) issu de ses observations ainsi que de celles du
Dr Ryan Cole qui souligne spécifiquement des observations de recrudescence de cancers de l'endomètre, dans son expérience clinique.
viewtopic.php?t=1506
https://odysee.com/Robert-Malone-affirm ... f5ee292efd
Les médecins pathologistes (que l'on rencontre dans les hôpitaux, par exemple) n'ont pas la même formation que le Dr Robert Malone.
D'où la réticence de certains médecins pathologistes à admettre les évidences qu'explicite le Dr Malone.
Une des choses que j'en retiens, c'est que trois doses peuvent mener à un affaiblissement de l'immunité de l'injecté qui peut alors devenir victime de pathologies qui, autrement, ne l'auraient pas affecté dans la même mesure.
Compte tenu du potentiel de transmission de ce SIDA-vax, je choisis personnellement de mesurer mes interactions avec des triple ou quadruples dosés.
Tout en continuant d'aimer inconditionnellement les dosés dans ma vie, je prends soin de leur expliquer l'importance de ces informations qu'ils pourraient, encore à ce jour, ignorer.
Il me semble donc essentiel de continuer d'agir en bienveillance mais du même souffle, il faut apprendre à se protéger de transmissions potentielles d'une pathologie de nature sidatique aux conséquences ultimement mortelles, si non-reconnue et non-traitée, avec toutes les conséquences que ça comporte.
Hâte d'entendre la suite de ce sujet, avec Manon et toi, Karine!
C'est souhaitable et normal de s'interroger sur ce thème puisque vu le nombre de consentistes qui cumulent les injections, il est devenu impossible d'ignorer le danger d'induire un SIDA vaccinal dans une proportion aussi importante de la population pourtant "en santé", initialement.
Les essais cliniques ne sont terminés pour AUCUN des "vaccins" (à ARNm ou à vecteur viral) qui ont été approuvés en urgence par Santé Canada.
Plus que jamais, il faut réaliser que des millions de Canadiens se sont fait injecter des produits expérimentaux.
Avec tous les dangers que cela comporte.
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Je vous invite aussi à écouter
cette entrevue avec la Dre Elizabeth Eads qui parle de "we're now beginning to see vaccine-related immune deificiency from the triple-vaxxed, in the hospital" ou en français "nous commençons maintenant à voir la déification immunitaire liée au vaccin du triple vaccinés, à l'hôpital".
C'est très grave et désormais un fait clinique.
Dans sa pratique, la
Dre Elizabeth Eads parle d'une dévastation pour le système immunitaire, dès les 1eres et 2e doses.
On parle du lentivirus (le "Spike lentivirus" constitué de l'HIV, du SIDA, avec du
SRAS et du
MERS qui rend les "vaccinés" si malades et pourquoi ils se retrouvent autant à l'hôpital) qui est inséré dans les cellules ce qui les change de manière permanente. C'est pourquoi les médecins comme la Dre Eads ne savent pas trop comment attaquer ce SIDAvax.
Attendons-nous donc à voir une montée post-vaccinale de cancers atypiques, de l'ordre de 2000% si l'on se fie aux informations du Dr Ryan Cole qui reçoit des informations de partout aux États-Unis.
La Dre Eads parle de cancers en hausse, tels que...
L'arrivée des "vaccins"-COVID n'est donc absolument pas un bonne nouvelle.
C'est exactement le contraire, en fait.
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