Les États attaquent les communautés

[cgelinas]

Nous constatons à quel point les États propagandisent leurs décrets "sanitaires", en collaboration totale et assumée avec des "grands médias" choisis et intentionnellement engraissés, à même les fonds publics.

Donc, les États veulent la division, en toutes choses.

Une série de nouvelles saveurs de ségrégations --vaccinales, sanitaires ou procédurales (avec l'usage des masques et des tests, par exemple)-- qui ont pour effet de taillader la matrice normalement unificatrice de nos communautés.

Du coup, on voit de mieux en mieux que la communauté est la cible ultime des États sous influence des corporato-mondialistes (comme l'ONU, la Banque mondiale et le FEM, tous établis en Suisse).

Pourquoi?

Parce que la communauté, celle du monde, du Canada, du Québec, de Montréal, de Rosemont, de la rue où vous habitez ou même, celle qui réside sous votre toit, demeure le "stock de valeur" ultime.

En clair, la communauté est une richesse qui dépasse toutes les autres.

Comme personne ne peut vivre seul pour toujours, même si on s'imagine tous pouvoir y arriver, la communauté (même avec une seule autre personne) vous offre un éventail de talents, de compétences et de potentiels uniques qui sont à peu près impossibles à obtenir, autrement.

Dans une communauté, on retrouve des ingénieurs pour l'approvisionnement en eau et la gestion des eaux usées, des spécialistes en gestion des déchets, des bâtisseurs de routes et de structures, des cultivateurs, des cuisiniers et des individus versés en sécurité.

Ces personnes constituent une richesse impossible à reproduire, seul.

Incluant avec des robots et de l'intelligence artificielle qui peut être très utile à la communauté mais qui ne peut pas la remplacer.

Ajoutez les gestionnaires, les philosophes, les poètes, les auteurs (qui ont le rôle indirect d'archivistes civilisationnels), les musiciens et les artistes (qui repoussent sans cesse les limites culturelles, dans le sens de l'épanouissement, idéalement) et l'absolue-valeur de la communauté devient plus claire.

Mieux encore, chaque personne peut faire partie de plusieurs communautés, souvent via le commerce, les centres d'intérêts, les amis ou la famille.

Ainsi, chaque communauté peut devenir un pilier pour d'autres communautés, en plus de fournir une sorte de tremplin pour les personnes qui en font partie ou en bénéficient, autrement.

Donc...

C'est en partie pour ça que les États attaquent autant les peuples.

Les États mondialistes veulent BRISER les communautés.

Rien de moins.

En brisant nos communautés avec diverses oppressions "sanitaires", c'est leur plan oppressif qui s'installe comme un lourd poids sur toutes les personnes et leurs communautés.

C'est un agenda mondialiste de division qui interdit graduellement les communautés, sauf celles qui sont sous leur contrôle. Ça explique les produits industriels géniques expérimentaux présentés comme des "vaccins" sûrs et efficaces, les masques avec leur couche de graphène qui colle la peau des enfants à l'école, à chaque fois qu'ils s'y trouvent et l'obsession maladive des tests-COVID qui, ensemble (et avec un longue liste d'autres "mesures-COVID") divisent ceux qui obéissent "docilement" et les autres (moins nombreux, hélas) qui voient l'arnaque étato-mondialiste.

Et quand le cirque covidiste s'étiolera, la suite est déjà planifiée avec la "crise climatique".

D'une crise à l'autre, pour briser les peuples et leurs infinies communautés.

Les communautés sont un peu le terreau dans lequel nous pouvons développer des expériences mutuellement bénéfiques mais les mondialistes veulent tous les bénéfices, pour eux et leur entourage. D'où l'attaque contre ce qui nous unit afin d'en venir à sans cesse davantage nous contrôler.

Là, nous en sommes à l'imposition d'un "passeport vaccinal" qui n'est rien d'autre qu'un outil de contrôle.

Aussi, cet outil "justifie" la canalisation de sommes colossales vers l'identité numérique (comme le projet mené par le Caquiste Eric Caire) qui régira 100% du droit de commercer. Plus personne ne pourra payer sans avoir "prouvé" son ID numérique et cette ID exigera d'être "adéquatement identifié" (via une quelconque procédure sous le contrôle des mondialistes [avec un "emploi approuvé", par exemple]) de la même manière que les "passeports vaccinaux" d'aujourd'hui (comme le VaxiCode, au Québec) exigent d'être "adéquatement vacciné".

Il faut donc être très attentifs aux mots.

Ceux-ci, comme "pandémie" ont de nouvelles définitions qui facilitent les abus des États-mondialistes contre les peuples.

Ce qui se passe en ce moment en Occident, pour briser de très riches communautés, se passera aussi dans les mondes-tiers. Il s'agit d'un plan mondialiste, pas pour une seule région mais le monde, au complet. Une prison, partout.

Voilà pourquoi nous devons comprendre immédiatement la finalité de cette plandémie.

Ne pas voir qu'il existe un plan, aujourd'hui, avec tout ce que l'on a appris, serait faire preuve d'aveuglement volontaire.

La plandémie covidiste va éventuellement passer le flambeau à la prétendue crise climatique et offrira comme réponse le développement durable de l'ONU qui n'est rien d'autre que le contrôle intégral des peuples.

Alors, que doit-on faire?

Chaque personne doit réfléchir à l'importance de sa personne à même les différentes communautés auxquelles elle participe. Que ce soit la famille, les amis, les collègues de travail, le club sportif, les partenaires commerciaux ou les connaissances partageant des intérêts communs, chaque personne est visée par l'assaut étatico-mondialiste qui détruit, divise et régimente.

Suite à cette réflexion, chaque personne voudra s'activer à protéger les communautés, aussi bien les siennes que celles qui existent et supportent, indirectement, les siennes (en bienveillance).

En protégeant les communautés, la personne se protège, elle-même.

À l'inverse, en brisant les communautés, les États-mondialistes et leurs complices brisent aussi les personnes qui deviennent alors bien plus faciles à contrôler, isolées qu'elles sont des communautés qui les protégeaient, de nombreuses manières, auparavant.

Les mondialistes exigent la "docilité" et on le voit, entre-autre, avec les règles de "standards de la communauté" de Facebook et les règles similaires de "fact checking malveillant, trompeur et obsessif" de Twitter, de YouTube, de Reddit, de Pinterest et de tous les "grands médias" qui sont alignés, avec les intérêts des mondialistes.

Imaginez l'horreur d'une vie --hors du web-- régimentée par les "standards de la communauté" de Facebook. Ce serait absolument invivable. Ce serait une prison.

Et pourtant, les mondialistes habituent les peuples à ces règles.

Graduellement, en route vers l'objectif de docilité.

Chaque "sujet" dans sa petite case, isolé de "sa communauté" sauf lorsque celle-ci sert unilatéralement un intérêt mondialiste ou alors, n'y nuit pas.

Ceux qui détiennent du pouvoir, via la filière mondialiste, veulent tout le pouvoir.

Ils se comportent en psychopathes.

Grâce aux personnes "dociles" qui ne réalisent apparemment pas la valeur de leurs communautés, ils peuvent livrer une guerre sans précédent contre toute dissention, sous prétexte de ne pas accepter que le statut-quo qu'ils cuisinent, via le contrôle des idées et des idéologies, ne soit bousculé.

Devant l'évidence de plans bien plus larges que ceux qui sont dévoilés aux peuples, via les "grands médias" devenus toxiques et hautement malveillants, voire inhumains, il appartient aux personnes de comprendre leur valeur.

Une valeur économique, certes mais surtout, une valeur de conscience humaine inestimable.

Or, les mondialistes veulent tout, d'où leur penchant pour les sombres avenues idéologiques comme le satanisme qu'ils voient comme une opportunité pour se saisir de la lumière, sans devoir faire l'effort de l'amour (aussi bien pour le donner qu'en recevoir). Pour ces êtres machiavéliques, la fiction qu'ils engendrent fait office de réalité.

C'est une motivation additionnelle pour nous d'éviter les nombreux pièges de cette fiction toxique.



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[cgelinas]

Nos communautés vivent lorsque nous leurs donnons vie.

La division, le contrôle oppressif et la ségrégation nuisent aux personnes, aux communautés et à la vie.

Qui aurait pensé devoir revenir sur ce fondement, en 2022, devant l'évidence des avancées toxiques des États sous influence mondialo-covidistes?

Et pourtant, on se voit placés devant l'obligation de refaire le point sur ce fondement.

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Notre capacité à créer, incluant à créer l'infinie richesse des moments, dans le présent, doit continuer de nous appartenir.



Source: Mon commentaire, dans Facebook



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