L'infirmière en milieu scolaire, au secondaire, agit pour le bénéfice de "big pharma"... mais aux frais du trésor public

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cgelinas
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C'est honteux de voir que l'infirmière en milieu scolaire d'une école secondaire de la région de Chaudière-Appalaches travaille autant pour le bénéfice de "big pharma" et non pour la santé des enfants.

Saviez-vous que les écoles secondaires sont rendues OBSESSIVES sur le contrôle des "suivis vaccinaux" des élèves?

Et oui, l'infirmière en milieu scolaire tente de cibler les élèves pour lesquels la vaccination pourrait être "incomplète":

  1. Diphtérie / Coqueluche / Tétanos / Poliomyélite
  2. Méningocoque de groupe C
  3. Rougeole / Rubéole / Oreillons
  4. Gardasil (virus du papillome humain) [également injecté aux garçons, maintenant]
  5. Hépatite B + A
  6. Variolle

La note qui est arrivée à mon attention explique que si le statut vaccinal est incomplet, il faut prendre rendez-vous au CLSC.

Ce genre de paranoïa de surveillance vaccinale n'a PAS sa place dans les écoles secondaires du Québec (ni aux autres niveaux, d'ailleurs).

À quand la fin de cette folie des injections?



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