Dans le dictionnaire en ligne Larousse, le mot apartheid est défini comme suit:
(mot afrikaans signifiant séparation)
1. Discrimination, voire exclusion, d’une partie de la population, qui ne dispose pas des mêmes droits, lieux d’habitation ou emplois que le reste de la collectivité.
On peut donc inférer qu'un apartheid est bel et bien en cours, au Québec, via les décrets sanitaires de la CAQ de François Legault.
Ça ressemble à un autoritarisme 2.0 (qui est une forme de totalitarisme aggravé, toujours au bénéfice des mêmes quelques-uns) qui ne dit pas son nom mais qui avance sous couvert de démocratie.
Si ça dure trop longtemps et trop profondément en société, dans ce processus, nous basculerons tous de manière collective, sans même nous en rendre compte, dans une situation où la prise du pouvoir politique a été faite par le mal absolu.
La liberté, c'est fini car il faut un passeport sanitaire pour avoir une vie normale.
L'égalité, c'est fini aussi compte tenu du régime d'apartheid qui s'applique contre ceux qui refusent de se soumettre à ce régime.
Nous devons don retrouver une éthique collective mais aussi, en même temps, retrouver une éthique individuelle en aimant son prochain comme soi-même, en soignant les malades.
Notre société ne peut pas devenir graduellement contre-nature si on la veut humaine et à notre image.
Le juriste d'affaires Marc Gotti explique aussi qu'un des fondements de l'autoritarisme est la négation des droits individuels.
Aussi bien la France que le Québec souffre d'un apartheid imposé par voie de décrets sanitaires et il faut activement contribuer à dissoudre ces contrôles politico-administratifs illégitimes et vraisemblablement illégaux, ne serait-ce qu'au plan moral, pour éviter le précipice civilisationnel qui nous menace.
Des injections aux 3 mois? Sans fin? Vraiment? C'est ça l'avenir de nos sociétés?
Sur ce point, écoutez ce qu'explique Alexandra Henrion-Caude, à partir de 11m, dans cette vidéo.
L'asservissement des peuples n'est qu'un chemin plus rapide vers son nivellement vers le bas.
C'est Albert Camus qui disait que "le bien être du peuple a toujours été l'alibi des tyrans et il offre de plus l’avantage de donner bonne conscience aux domestiques de la tyrannie".
Ce qui se passe au Québec est très grave alors il faut refuser la Caquo-décrétisterie toxique.
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