Il s'élève dès maintenant à 2,50%.
Selon Tiff Macklem, le gouverneur de la Banque du Canada (BDC), cette décision signale une approche plus sévère que prévu pour tenter de freiner l'inflation qui a atteint en mai 2022 un sommet en 39 ans en s'établissant à 7,7%, sur une base annuelle.
Il s’agit d’une catastrophe en développement pour les Canadiens, qu’ils soient pauvres, dans la classe moyenne ou riches.
Les très riches qui possèdent les terres, les immeubles, les instruments financiers, les avoirs tangibles et les moyens de production quant à eux, pourraient connaître un enrichissement inédit alors que les gens paieront plus cher pour entretenir leur endettement qui, lui, n’ira qu’en augmentant tant leur charge sera graduellement intenable.
Nous entrons dans une ère de polarité financière sans précédent dans l’histoire moderne, au Canada.
C’est le moment où les gens devront choisir de continuer à suivre le classe dirigeante actuelle alignée sur l’Agenda 2030 de l’ONU visant à détruire l’Occident ou alors, de prendre le contrôle de ses instruments de gouverne pour voir à son propre meilleur intérêt.
Ça va empirer, rapidement
Au fait, qui est derrière la “recommandation” pour cette importante hausse du taux directeur de la BDC?
Parmi les plus influents économistes, on retrouve Robert Hogue, économiste en chef adjoint de la Banque royale du Canada (BRC). Êtes-vous surpris que la BRC milite pour un “resserrement économique”?
Et c’est loin d’être fini car Hogue prévoit spécifiquement un resserrement quand même assez rapide qui pourrait faire grimper le taux directeur jusqu’à environ 3% d’ici la fin de l’année 2022.
Environ.
Ça pourrait donc dépasser les 3% alors-même qu’on entrerait dans l’hiver de 2023. La belle affaire, pas vrai?
Ce qui se passe, sous nos yeux, devrait nous faire froid dans le dos car on se dirige tout droit vers une intensification de la pression financière sur presque tous les Canadiens alors que le 1% des ultra-riches, eux, se frottent les mains à l’idée d’en avoir encore plus, sur la misère du monde.
Le jeu des tyrans
Le système financier est un outil pour perpétuer l’usure contre les esclaves financiers, au profit presqu’unilatéral des ultra-riches.
Pas les médecins et les propriétaires de l’épicerie de votre village mais les ultra-riches qui ne subissent pas les stress économiques tant leurs possessions sont dans une classe à part.
Cette classe possédante prête une allégeance sans faille à la “lutte au COVID”, à la “lutte à la crise climatique” et à la “lutte au carbone”. Toutes des “luttes” contre les peuples, au fond.
Les ultra-riches qui gravitent autour du Forum économique mondial (FEM) de Davos, en Suisse, où l’on retrouve également les Onusiens-mondialistes de Genève, voient l’avenir sous l’angle du remplacement populationnel et du transhumanisme.
Primo, le remplacement populationnel vise à éliminer une grande part des Occidentaux pour les remplacer par des Tier-mondistes qui, eux, ça tombe bien, comme en Afrique, n’ont à peu près pas été “vaccinés”.
Il se trouve que ces “remplaçants” ne coûtent pas cher, qu’ils sont jeunes et très motivés à venir vivre en Occident. Et il n’y a aucune pension de vieillesse à leur payer, non-plus.
D’ailleur, Tiff Macklem de la BDC explique ouvertement qu’il “manque de travailleurs”. C’est le mantra des ultra-riches pour importer les “remplaçants”.
Efficace, non?
Le nirvana pour les ultra-riches.
Dommage que les Occidentaux soient aussi aveugles à cette réalité qui se déroule pourtant sous nos yeux, jour après jours.
Ça devient le crime parfait quand on ajoute le transhumanisme qui va ambitionne de faire usage d’approches basées sur les cellules souches, la modification du génome et de l’implantation systémique de technologies dans les corps pour permettre aux ultra-riches et à leurs proches de vivre plus longtemps avec une santé que le 99% ne pourra qu’espérer, surtout vu le retour plus visible de l’esclavage, engendré par une économie à bout de souffle où, comme le répétait Klaus Schwab, vous ne posséderez rien.
Quant à “être heureux”, ça reste à voir.
Modérer la croissance économique
Ce qui se passe en ce moment va moduler votre vie et celle de vos enfants car l’idée est de vous tromper en vous disant que la hausse du taux directeur est nécessaire pour “lutter contre l’inflation”.
Une autre “lutte” contre le peuple.
En fait, la BDC invoque aussi le fait que de nombreuses banques centrales “resserrent” leur politique monétaire pour lutter contre… l’inflation. Les conditions financières plus tendues qui en résultent modèrent la croissance économique.
Vous avez bien lu: modérer la croissance économique.
C’est comme un mauvais film, au ralenti.
L’Ukraine
Comment oublier le facteur zelenskiste dans notre vie économique canadienne, pas vrai?
Le milliardaire Volodymyr Zelensky, en Ukraine, continue d’être l’excuse favorite de la classe politique canadienne pour ce qui survient, de ce côté-ci de l’Atlantique.
Dans ce cas-ci, encore une fois, la BDC prétexte que la guerre en Ukraine et les “perturbations continues de l’approvisionnement” seraient les “principaux moteurs de l’inflation” — wow!
Vous ne trouvez pas qu’elle a le dos large, la Zelenkisterie-otanisto-mondialiste?
Ceci, pour conserver un minimum de crédibilité, la BDC évoque aussi, du bout des lèvres, les pressions intérieures sur les prix qui gagnent en importance.
Qui d’autre arrive à voir à quel point nous faisons face à des initiés qui se moquent de nous?
La faute de la BDC, de toute façon
Ne comptez pas sur la BDC pour avouer sa propre faute mais voilà, on se retrouve là principalement en raison de leur haute-complaisance avec le régime trudeauiste et ses dérives endettistantes sans égales, dans l’histoire du pays.
Concrètement, l'une des missions de la BDC est d’intervenir, au besoin, sur ses taux pour maintenir l’inflation dans une fourchette de 1% à 3% par an. Or, ce seuil a été dépassé dès avril 2021 et a continué à grimper depuis, jusqu'à atteindre 5,1%, au début de l'année 2022. Et là, c’est un indice des prix (IPC) à 7,7% qui torpille l’économie, en mai 2022.
Et l’année n’est pas finie.
Sans vouloir jouer à blâmer tout le monde alors que notre maison collective brûle, il semble important de rappeler que la complaisance de la BDC envers Justin Trudeau et ses choix économiques douteux nous plonge dans une nuit financière dont personne ne peut prédire l’issue.
Dans les faits, ceci va arriver
Préparez-vous.
Parlez aux membres de votre famille, à vos collègues, à vos voisins et à vos amis.
Soyez un meneur, à l’échelle de votre petite communauté afin de préparer une relève sociale quand le “système” connaîtra des difficultés. Et soyez assurés qu’il en connaîtra. Il en connaît d’ailleurs déjà mais vous aurez compris que ce n’est pas annoncé.
Puisque la demande sur le marché canadien reste forte, les entreprises répercutent sur les consommateurs les coûts plus élevés des intrants et de la main-d’oeuvre en montant les prix.
Vous le sentez à chaque fois que vous consommez.
Épicerie, essence.
Cette partie-là, vous la comprenez très bien.
Mais c’est bien plus gros, cette hausse inédite du taux directeur à 2,5% qui n’avait pas été vue depuis août 1998.
Une augmentation du taux directeur s'accompagne évidemment de répercussions directes sur les particuliers et les entreprises qui payent davantage d’intérêts sur leurs prêts hypothécaires, leurs dettes de crédit à la consommations et autres.
Ça a pour effet de décourager les emprunts, de réduire les dépenses et de freiner l’inflation.
Oui, “freiner l’inflation”, au prix de pulvériser votre dernier rempart de sécurité économique et ne comptez pas sur la BDC pour vous l’expliquer clairement. Ils espèrent que vous serez… docile, dans votre nouvelle pauvreté.
La “nouvelle normale” économique d’indigeance des ménages parmi les plus fragiles.
Soyons clairs, le relèvement des taux d’intérêt —dans les institutions financières des ultra-riches— incite donc les particuliers à épargner davantage et à dépenser moins, ce qui ralentit l’économie.
Donc, attendez-vous à ce que les “consommateurs” soient blâmés pour l’inévitable “ralentissement économique”.
Tordu, non?
Ici pour rester
Tiff Macklem de la BDC a aussi précisé que “l’inflation est ici pour rester”.
Ça devrait faire réfléchir ceux qui sont complaisants avec l’agenda de guerre otanistes de poursuite du conflit entre la Russie et l’Ukraine pour provoquer, de toute pièce, une guerre mondiale.
Car les ultra-riches seront en sécurité pendant que les peuples seront forcés de se battre, entre eux, question de bien détruire l’Occident que nous connaissons, aujourd’hui.
L’inflation est ici pour rester uniquement en raison des décisions toxiques des ultra-riches, souvent liés aux intérêts étrangers des transnationales qui contrôlent le Canada et tant d’autres économies occidentales et tiers-mondistes, en sous-main.
Nous avons passé le point de simplement encaisser les coups et il faut penser à un après coup d’État, contre le peuple.
Parce que le coup d’État contre nous a bel et bien lieu, pour quiconque prend une seule seconde pour voir… et comprendre.
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Q = Ton nom et R = Claude
Votre aide est essentielle, merci
Source: Ma publication, dans Substack
Extrait facile à partager:
La plus importante hausse du taux directeur en 24 ans, au Canada. 2,5% d taux directeur... comprenez-vous bien ce que ça va avoir comme répercussion, dans votre vie?
https://claudegelinas.substack.com/p/la ... se-du-taux
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