La chitine de l'exosquelette d'insectes et le danger de cancer

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Les chitines font partie de l'exosquelette de l'insecte - une étude montre que les humains ne peuvent pas digérer la chitine et que celle-ci peut conduire au cancer.


Voici ce qu'explique cette étude du 14 novembre 2009, intitulée "Rôle potentiel de la chitinase 3-like-1 dans les changements cancérigènes associés à l'inflammation des cellules épithéliales".

La famille des chitinases de mammifères comprend des membres avec et sans activité enzymatique de glycohydrolase contre la chitine, un polymère de N-acétylglucosamine.

La chitine est le composant structurel des champignons, des crustacés, des insectes et des nématodes parasites, mais elle est totalement absente chez les mammifères.

L'exposition à des antigènes contenant de la chitine ou des structures analogues à la chitine induit parfois de fortes réponses T auxiliaires de type I chez les mammifères, qui peuvent être associées à l'induction de chitinases de mammifères.

La chitinase 3-like-1 (CHI3L1), un membre de la famille des chitinases de mammifères, est induite spécifiquement au cours de l'inflammation dans des troubles tels que la maladie intestinale inflammatoire, l'hépatite et l'asthme.

De plus, CHI3L1 est exprimé et sécrété par plusieurs types de tumeurs solides, notamment le glioblastome, le cancer du côlon, le cancer du sein et le mélanome malin.

Bien que la fonction exacte de CHI3L1 dans l'inflammation et le cancer soit encore largement inconnue, CHI3L1 joue un rôle central dans l'exacerbation des processus inflammatoires et dans la promotion de l'angiogenèse et du remodelage de la matrice extracellulaire.

CHI3L1 peut être fortement impliqué dans l'engagement chronique de l'inflammation qui potentialise le développement de la tumorigenèse épithéliale vraisemblablement en activant la protéine kinase activée par les mitogènes et les voies de signalisation de la protéine kinase B.

Les anticorps anti-CHI3L1 ou les inhibiteurs de la pan-chitinase peuvent avoir le potentiel de supprimer l'inflammation chronique médiée par CHI3L1 et le changement cancérigène ultérieur dans les cellules épithéliales.

CHI3L1 joue un rôle central dans l'exacerbation des processus inflammatoires et dans la promotion de l'angiogenèse et du remodelage de la matrice extracellulaire.

CHI3L1 peut être fortement impliqué dans l'engagement chronique de l'inflammation qui potentialise le développement de la tumorigenèse épithéliale vraisemblablement en activant la protéine kinase activée par les mitogènes et les voies de signalisation de la protéine kinase B.

Les anticorps anti-CHI3L1 ou les inhibiteurs de la pan-chitinase peuvent avoir le potentiel de supprimer l'inflammation chronique médiée par CHI3L1 et le changement cancérogène ultérieur dans les cellules épithéliales.

CHI3L1 joue un rôle central dans l'exacerbation des processus inflammatoires et dans la promotion de l'angiogenèse et du remodelage de la matrice extracellulaire.

CHI3L1 peut être fortement impliqué dans l'engagement chronique de l'inflammation qui potentialise le développement de la tumorigenèse épithéliale vraisemblablement en activant la protéine kinase activée par les mitogènes et les voies de signalisation de la protéine kinase B.

Les anticorps anti-CHI3L1 ou les inhibiteurs de la pan-chitinase peuvent avoir le potentiel de supprimer l'inflammation chronique médiée par CHI3L1 et le changement cancérogène ultérieur dans les cellules épithéliales.


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Activation de la β-caténine dans les cellules épithéliales du côlon par la Chitinase 3-like-1 purifiée (CHI3L1). Les cellules cancéreuses du côlon humain SW480 ont été cultivées sans (A) ou avec la protéine CHI3L1 humaine purifiée (50 ng / mL) pendant 24 h (B), et les cellules ont été colorées avec un anticorps monoclonal anti-caténine anti-humain β de souris suivi d'une coloration IgG anti-souris anti-souris. Chi3L1 purifié stimule de manière significative la translocation nucléique de la β-caténine dans les cellules SW480. Grossissement d'origine, objectif 40 ×.
Activation de la β-caténine dans les cellules épithéliales du côlon par la Chitinase 3-like-1 purifiée (CHI3L1). Les cellules cancéreuses du côlon humain SW480 ont été cultivées sans (A) ou avec la protéine CHI3L1 humaine purifiée (50 ng / mL) pendant 24 h (B), et les cellules ont été colorées avec un anticorps monoclonal anti-caténine anti-humain β de souris suivi d'une coloration IgG anti-souris anti-souris. Chi3L1 purifié stimule de manière significative la translocation nucléique de la β-caténine dans les cellules SW480. Grossissement d'origine, objectif 40 ×.
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Continuez votre exploration des dangers de la chitine avec la vidéo intitulée "Sacred Cows and the Dangers of Eating Bugs" de Greg Reese.


Ça explique les différences entre les protéines animales, comme celles des vaches et celles d'insectes où se retrouve la chitine.


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Je vous invite à lire cette étude du 14 septembre 2020 intitulée "Fonction de la chitinase-3 like-protein-1 et son rôle dans les maladies", dans PubMed qui explique ceci...

La chitinase-3 like-protein-1 non enzymatique (CHI3L1) appartient à la famille des glycosides hydrolases 18.

Elle se lie à la chitine, à l'héparine et à l'acide hyaluronique et est régulée par les modifications de la matrice extracellulaire, les cytokines, les facteurs de croissance, les médicaments et le stress.

CHI3L1 est synthétisé et sécrété par une multitude de cellules, notamment les macrophages, les neutrophiles, les synoviocytes, les chondrocytes, les cellules de type fibroblaste, les cellules musculaires lisses et les cellules tumorales.

Il joue un rôle majeur dans les lésions tissulaires, l'inflammation, la réparation des tissus et les réponses de remodelage.

CHI3L1 a été fortement associé à des maladies telles que l'asthme, l'arthrite, la septicémie, le diabète, la fibrose hépatique et la maladie coronarienne.

De plus, suite à son identification initiale dans le surnageant de culture de la lignée cellulaire d'ostéosarcome MG63, Il a été démontré que CHI3L1 est surexprimé dans une multitude de cancers humains et de modèles de tumeurs animales.

À ce jour, la sous-unité alpha-2 du récepteur de l'interleukine-13, la protéine transmembranaire 219, la galectine-3, le récepteur chimio-attractant homologue 2 et le CD44 ont été identifiés comme des récepteurs CHI3L1.

La signalisation CHI3L1 joue un rôle essentiel dans la croissance, la prolifération, l'invasion, les métastases, l'angiogenèse, l'activation des macrophages associés aux tumeurs et la polarisation Th2 du CD4 des cellules cancéreuses+ Cellules T.

Fait intéressant, la thérapie ciblée basée sur CHI3L1 a été de plus en plus appliquée au traitement des tumeurs, y compris le gliome et le cancer du côlon, ainsi que la polyarthrite rhumatoïde.

Cette revue résume les rôles et mécanismes potentiels de CHI3L1 dans l'oncogenèse et la pathogenèse de la maladie, puis propose des stratégies expérimentales pour des thérapies ciblées.

Donc, en gros, manger des insectes ou des protéines de ceux-ci contenant de la chitine pourrait contribuer à l'apparition ou la progression de cancers, chez l'humain.

Puis...

Dans un 2e temps, des traitements pharmaceutiques des tumeurs cancéreuses qui ciblent le CHI3L1 pourraient être vendus aux hôpitaux (et aux patients) pour "traiter" le cancer induit par la consommation d'insectes.

Une fois le patient traité, la poursuite de la consommation de protéines d'insectes contenant de la chitine pourrait réactiver le cancer ou en engendrer un autre ce qui, naturellement, crée un nouveau besoin commercial pour le "traitement" qui cible le CHI3L1.

Voilà donc un modèle commercial qui maintient les mangeurs d'insectes faibles, malades et dépendants des "traitements" pharmaceutiques qui ciblent le CHI3L1.

Vous voyez maintenant pourquoi les initiés sont aussi pressés de nous transiter vers la consommation d'insectes — ça sert plusieurs de leurs agendas, contre nous.

Donc...

Il faut éviter à tout prix de normaliser la consommation d'insectes qui contiennent de la chitine (et d'autres composants dangereux, aussi).

Quand Klaus Schwab du Forum économique mondial (FEM) nous dit que nous mangerons des insectes, il sait très exactement ce qu'il fait et c'est un empoisonnement massif des humains, au bénéfice-premier du complexe corporato-pharmaceutique qui aura ensuite des clients-à-vie à traiter.


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Voici la conclusion de cet important article intitulé "Pénuries alimentaires: les mondialistes du WEF promeuvent le régime alimentaire des insectes - et le cannibalisme" qui dénonce la consommation d'insectes pour ce que c'est, à savoir une imposture mondialiste de plus:

L'idée que notre seule issue est un régime d'insectes et de cannibalisme est stupidement ignorante à l'extrême et doit être combattue à chaque tournant. Ce ne sont pas du tout des solutions fondamentales.

Ce sont des outils pour asservir, dénigrer et déshumaniser l'humanité, inventés par des gens qui voient chaque steak dans votre assiette comme quelque chose qui leur a été volé.

Les corporato-mondialistes sont typiquement froids, calculateurs et trop souvent, inhumains.

Ils nous détestent et nous considèrent comme une commodité parmi d'autres, d'où leurs réflexes largement inhumains, contre nous.

Ces élites auto-proclamées se considèrent dans une classe à part de nous et à plusieurs égards, ils jalousent des privilèges pour eux qu'ils nous refusent à nous.

Pour ces raisons et tant d'autres, incluant la chitine et le danger que ça représente en regard du cancer, il faut REFUSER de manger des insectes.

Et des humains, naturellement.

Klaus Schwab du FEM et son cercle ne veulent pas notre bien ou notre bonheur. Ils nous nuisent en nous parasitant, autant qu'ils le peuvent pour améliorer leur sort, à eux.

Donc non, je ne veux rien savoir de manger des insectes.



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Il y a une autre étude essentielle (publiée le 8 juillet 2019) à lire à propos du danger de la consommation d'insectes, par les humaines.

Cette étude publiée dans PLoS est intitulée "Une évaluation parasitologique des insectes comestibles et leur rôle dans la transmission des maladies parasitaires à l'homme et aux animaux".

Voici le résumé:

Depuis le 1er janvier 2018 est entré en vigueur le règlement (UE) 2015/2238 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2015, introduisant la notion de "nouveaux aliments", y compris les insectes et leurs parties.

Parmi les espèces d'insectes les plus couramment utilisées, citons: les vers de farine (Tenebrio molitor), les grillons domestiques (Acheta domesticus), les blattes (Blattodea) et les criquets migrateurs (Locusta migrans).

Dans ce contexte, la question insondable est le rôle des insectes comestibles dans la transmission des maladies parasitaires qui peuvent causer des pertes importantes dans leur élevage et peuvent constituer une menace pour les humains et les animaux.

Le but de cette étude était d'identifier et d'évaluer les formes de développement des parasites colonisant les insectes comestibles dans les fermes familiales et les animaleries en Europe centrale et de déterminer le risque potentiel d'infections parasitaires pour les humains et les animaux.

Le matériel expérimental comprenait des échantillons d'insectes vivants (imagines) provenant de 300 fermes familiales et animaleries, dont 75 fermes de vers de farine, 75 fermes de grillons domestiques, 75 fermes de cafards siffleurs de Madagascar et 75 fermes de criquets migrateurs.

Des parasites ont été détectés dans 244 (81,33 %) des 300 (100 %) élevages d'insectes examinés.

Dans 206 (68,67%) des cas, les parasites identifiés étaient pathogènes pour les insectes uniquement ; dans 106 (35,33 %) cas, les parasites étaient potentiellement parasitaires pour les animaux ; et dans 91 (30,33 %) cas, les parasites étaient potentiellement pathogènes pour l'homme.

Les insectes comestibles sont un réservoir sous-estimé de parasites humains et animaux.

Nos recherches indiquent le rôle important de ces insectes dans l'épidémiologie des parasites pathogènes des vertébrés.

L'examen parasitologique conduit suggère que les insectes comestibles peuvent être le vecteur de parasites le plus important pour les animaux domestiques insectivores.

Selon nos études, les recherches futures devraient se concentrer sur la nécessité d'une surveillance constante des élevages d'insectes étudiés pour les agents pathogènes, augmentant ainsi la sécurité des denrées alimentaires et des aliments pour animaux.

Donc, en plus de la chitine des insectes, il faut s'inquiéter des maladies parasitaires, provenant des insectes que les mondialistes veulent nous forcer à manger.

Et même si des installations d'élevage de grillons peuvent être mieux surveillées, au Canada ou en Occident, des centaines de fermes d'élevages d'insectes destinés à la consommation humaine ou animale opèrent en Afrique et en Asie où la risque parasitaire est beaucoup plus élevé.

Ainsi, tout produit "alimentaire" contenant des insectes provenant de ces zones pourrait présenter un risque encore plus élevé, au plan parasitaire, aussi bien à l'encontre des humains que des animaux.



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Retour sur le danger de la chitine, en lien avec les allergies.

Dans cette étude intitulée "Le rôle potentiel de la chitine dans les réactions allergiques", publiée le 7 septembre 2007, on apprend que la consommation d'insectes contenant de la chitine peut engendrer des allergies.

Voici le résumé de cette étude...

L'allergie, une maladie potentiellement mortelle, a en son cœur une réponse trop zélée du T-helper de type 2 aux antigènes environnementaux.

Nous sommes constamment inondés d'allergènes potentiels, qu'ils soient aéroportés ou ingérés.

Bien qu'inoffensifs pour certains, les antigènes courants peuvent provoquer des réactions allergiques graves chez les personnes sensibles.

La chitine, un sucre polymérisé et un composant fondamental des arthropodes et des champignons, n'est généralement pas considérée comme un allergène potentiel, mais peut provoquer une sensibilisation par une exposition fréquente.

Une récente étude intrigante a mis en évidence le rôle de la chitine dans les réactions allergiques.

Ça laisse à penser que l'idée de nous faire manger des protéines d'insectes sur une base régulière nous rendrait graduellement de plus en plus sensibles aux allergies.

C'est tellement tordu, comme agenda... parce que c'est IMPOSSIBLE que les cabales mondialistes qui poussent l'agenda des insectes, en tant que nourriture humaine, ignorent cette sensibilisation qui nous rendrait plus vulnérables aux allergies.

Les allergies sont hautement débilitantes et peuvent nécessiter des "traitements" qui enrichissent les transnationales pharmaceutiques tout en gardant la populace affaiblie et misérable... ce qui profite aussi aux mondialistes.

L'agenda des insectes destinés à la consommation humaine (surtout pour remplacer les viandes animales qui vont demeurer disponibles uniquement pour les élites auto-proclamées et leurs "collaborateurs") est une arnaque sans fin avec des conséquences réelles et presqu'invariablement négatives, sur la santé.

Oui, il y a des protéines dans certains insectes et même l'humain peut s'en alimenter, ça ne veut pas dire que ce soit forcément bon.

Cette recherche met en lumière le danger, en regard des allergies.



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