Graphène dans les vaccins: Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS

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cgelinas
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Graphène dans les vaccins

Le 25 septembre 2022, Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS a été reçu en entrevue à FranceSoir et voici une partie de ce qu'il a déclaré, à propos du graphène qui se trouverais dans les vaccins.

Sans vouloir vendre la mèche, il reste prudent mais explique que d'autres en savent plus que lui et des pays conduisent actuellement des analyses.

L'entrevue a engendré un article détaillé intitulé "Oxyde de graphène dans les vaccins, anomalies sanguines, nanoparticules lipidiques: l'analyse de Jean-Marc Sabatier".

France Soir — On a beaucoup parlé de particules métalliques notamment d’oxyde de graphène, pensez-vous que cette piste soit sérieuse ?

Jean-Marc Sabatier — Le graphène et ses dérivés, dont l’oxyde de graphène, ne sont pas décrits (par les fabricants et l’OMS) comme étant des constituants des vaccins actuellement utilisés contre le SARS-CoV-2 et la Covid-19. La présence de tels nanomatériaux est néanmoins mentionnée par de nombreux auteurs et expérimentateurs. Il serait très grave que la présence de tels composés soit réelle pour des raisons de transparence sanitaire et d’innocuité vaccinale (bien qu’il ne soit pas opportun de parler d’innocuité vaccinale dans le cadre des pseudo-vaccins anti-Covid-19).

Le graphène est constitué de carbone (il s’agit d’un feuillet monocouche d’atomes de carbone organisés en nids d’abeilles). Avec ses dérivés, le graphène présente des potentialités et propriétés physico-chimiques exceptionnelles en termes de légèreté, transparence, flexibilité, résistance (résistance à la rupture 100 fois supérieure à celle de l’acier), stabilité, conduction électrique, magnétisme (seulement en conditions non-naturelles), source potentielle d’énergie (grâce aux mouvements vibratoires), et stockage énergétique propre (batterie au graphène). Les domaines d’application de ces matériaux sont actuellement en pleine expansion comme capteurs/biocapteurs ultra-sensibles, biocatalyseurs, micropuces et autres, ainsi qu’en nanomédecine (principalement comme vecteur de thérapie génique et plate-forme de vaccins).

Est-il utilisé expérimentalement comme une plate-forme vaccinale dans les vaccins anti-Covid-19 à ARNm?

Nous devrions le savoir prochainement, notamment parce que la justice a été saisie dans plusieurs pays pour une étude approfondie de la composition de ces vaccins.

Pour ma part, je n’ai à ce jour aucune certitude quant à la présence ou non de graphène ou d’oxyde de graphène (ou autre(s) dérivé(s) apparenté(s)) dans les vaccins à ARNm, mais je ne suis pas la personne la mieux informée dans le domaine… et il y a rarement de fumée sans feu.

Les problèmes majeurs posés par une présence de nanomatériaux carbonés de type graphène ou dérivé seraient potentiellement une réaction inflammatoire « délétère » avec stress oxydant, une mort cellulaire (par apoptose, nécrose et/ou dérèglement autophagique), une toxicité directe sur des organes (notamment les poumons et le cerveau), une génotoxicité (altération de l’ADN qui est une source de cancers et/ou de déficiences transmissibles aux générations suivantes), ainsi que la biodégradabilité (catabolisme) et ses conséquences sur l’organisme.

Il est notable qu’à ce jour, des effets indésirables de ces nanomatériaux (par exemple, l’oxyde de graphène) ont déjà été rapportés sur certains types cellulaires (dont des cellules nerveuses et épithéliales pulmonaires), et sur des organismes vivants incluant des plantes (via des terres enrichies en nanotubes de carbone).

Il apparait que l’enzyme humaine myéloperoxydase (MPO) produite par des globules blancs (granulocytes neutrophiles appartenant à l’immunité innée) serait capable de dégrader l’oxyde de graphène ; ces cellules immunitaires — en charge de l’élimination de microbes et corps étrangers dans l’organisme — sont fortement représentées dans les poumons.

Finalement, les nanoparticules de graphène (et ses dérivés) apparaissent d’autant plus toxiques que leur taille est importante. Dans le cas d’une présence effective d’oxyde de graphène, ou autre composé apparenté dans les vaccins à ARNm (ce qui reste à ma connaissance à démontrer formellement), une élimination rapide par un mécanisme de phagocytose de cellules immunitaires spécialisées est probable.

Autrement dit, Jean-Marc Sabatier ne sait pas encore formellement si du graphène se trouve dans les vaccins-COVID-19 mais si ça devait être le cas, les effets contre la santé sont réels, nombreux et délétères.

Surveillez la présence de problèmes neurologiques chez les injectés vaccinaux.



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