Les travailleurs de la santé sont poussés à se faire vacciner... ou écouvillonner
Posté : 26 avr. 2021, 23:54
Nous sommes rendus à une forme d'oppression sanitaire qui va dans le sens de la propagande vaccinale d'État plutôt que la santé immunitaire naturelle, à large spectre.
C'est-là une autre genuflexion de l'État devant le proverbial autel de "big pharma" qui obsède sur la vaccination-COVID.
D'ailleurs, aucun des travailleurs de la santé n'a plus 70 ans et pourtant, l'État caquiste-décrétiste-mondialiste de François Legault tourne le dos à toute science respectueuse de la santé humaine pour ne retenir que la science alignée sur les intérêts et les fonds de "big pharma" pour donner l'impression que la vaccination est la seule option.
Ce qui est totalement faux, évidemment.
Mais la propagande d'État, au Québec, ne parle que des vaccins.
--
Voici trois saisies d'écran montrant le genre de pression que subissent les employés du réseau de la santé, au Québec. Dans ce cas-ci, il s'agit du CIUSSS de l'Est-de-l'Île-de-Montréal.
Le chantage va comme suit. L'employé non-vacciné-COVID doit se faire dépister au moins 3 fois par semaine, via un douloureux écouvillon jusqu'au fond du nez. Aucune surprise que les employés conscients ne veulent ni l'un, ni l'autre.
L'État caquiste s'en doute, bien entendu alors le jeu consiste à faire autant de chantage que nécessaire pour pousser les employés à bout afin qu'ils craquent et acceptent l'injection vaccinale "expérimentale", approuvée "en urgence" par Santé Canada.
--
Ce genre de chantage sanitaire est odieux.
Les travailleurs de la santé se font menacer de ne plus pouvoir travailler s'ils devaient refuser à la fois le vaccin-COVID et les écouvillons de tests qui sont pourtant ouvertement dénoncés pour leur inefficacité à détecter le COVID-19.
--
Ce traitement professionnel SAUVAGE contre les employés du réseau de la santé, au Québec, pourrait s'étendre à d'autres secteurs de la société. Notamment via des employeurs zélés et convaincus qu'il faut tomber victime de la propagande d'État pour "sauver des vies".
La science met en garde contre ces vaccins mais la CAQ refuse d'entendre quoique ce soit de vrai, préférant demeurer au service de "big pharma" et ses injections "expérimentales" approuvées "en urgence" transformant toute personne vaccinée-COVID en cobaye.
Ce qui se passe doit interpeler 100% de la population québécoise qui doit REFUSER ce narratif d'État tendancieux (pour rester poli).
--
Ce qui se passe aujourd'hui CONTRE le personnel de la santé pourrait arriver ailleurs, en société.
Personnes âgées, enfants, travailleurs.
Combien de temps avant que les activités les plus banales, comme faire l'épicerie, ne deviennent impossibles sans une preuve vaccinale ou la divulgation volontaire des détails dans un carnet de dépistage?
-- -- --
C'est-là une autre genuflexion de l'État devant le proverbial autel de "big pharma" qui obsède sur la vaccination-COVID.
D'ailleurs, aucun des travailleurs de la santé n'a plus 70 ans et pourtant, l'État caquiste-décrétiste-mondialiste de François Legault tourne le dos à toute science respectueuse de la santé humaine pour ne retenir que la science alignée sur les intérêts et les fonds de "big pharma" pour donner l'impression que la vaccination est la seule option.
Ce qui est totalement faux, évidemment.
Mais la propagande d'État, au Québec, ne parle que des vaccins.
--
Voici trois saisies d'écran montrant le genre de pression que subissent les employés du réseau de la santé, au Québec. Dans ce cas-ci, il s'agit du CIUSSS de l'Est-de-l'Île-de-Montréal.
Le chantage va comme suit. L'employé non-vacciné-COVID doit se faire dépister au moins 3 fois par semaine, via un douloureux écouvillon jusqu'au fond du nez. Aucune surprise que les employés conscients ne veulent ni l'un, ni l'autre.
L'État caquiste s'en doute, bien entendu alors le jeu consiste à faire autant de chantage que nécessaire pour pousser les employés à bout afin qu'ils craquent et acceptent l'injection vaccinale "expérimentale", approuvée "en urgence" par Santé Canada.
--
Ce genre de chantage sanitaire est odieux.
Les travailleurs de la santé se font menacer de ne plus pouvoir travailler s'ils devaient refuser à la fois le vaccin-COVID et les écouvillons de tests qui sont pourtant ouvertement dénoncés pour leur inefficacité à détecter le COVID-19.
--
Ce traitement professionnel SAUVAGE contre les employés du réseau de la santé, au Québec, pourrait s'étendre à d'autres secteurs de la société. Notamment via des employeurs zélés et convaincus qu'il faut tomber victime de la propagande d'État pour "sauver des vies".
La science met en garde contre ces vaccins mais la CAQ refuse d'entendre quoique ce soit de vrai, préférant demeurer au service de "big pharma" et ses injections "expérimentales" approuvées "en urgence" transformant toute personne vaccinée-COVID en cobaye.
Ce qui se passe doit interpeler 100% de la population québécoise qui doit REFUSER ce narratif d'État tendancieux (pour rester poli).
--
Ce qui se passe aujourd'hui CONTRE le personnel de la santé pourrait arriver ailleurs, en société.
Personnes âgées, enfants, travailleurs.
Combien de temps avant que les activités les plus banales, comme faire l'épicerie, ne deviennent impossibles sans une preuve vaccinale ou la divulgation volontaire des détails dans un carnet de dépistage?
-- -- --