Conférence du professeur Christian Perronne du mercredi, 19 octobre 2022, au parlement Européen de Strasbourg.
La députée européenne Viginie Joron a invité le professeur Christian Perronne au parlement Européen.
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Christian Perronne au parlement européen, le 19 octobre 2022
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Bravo à Virginie Joron qui a invité Christian Perronne au parlement européen, à Strasbourg.
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Ça parle de la France mais ça confirme qu'au fond, c'est à peu près le même script contre le peuple qu'au Québec.
Maintenant, selon le professeur Perronne, les médecins passent plus de temps avec leur ordinateur (tâches administratives) qu'avec leurs patients.
Voici ce que j'en pense.
C'est aussi ça la montée de la technocratie où les fictions administratives artificiellement surmultipliées prennent invariablement le pas sur le temps consacré aux patients.
Soigner les patients devient secondaire, après la course folle des médecins après les cortèges de formulaires, de règles et de suivis exigibles.
Sans surprise, c'est le patient qui se retrouve avec un accès plus réduit que jamais aux médecins et même lorsqu'il finit par en voir un, celui-ci a continuellement à l'idée que pour chaque chose qu'il fait ou dit, il devra affronter sans cesse plus de bureaucratie, ce qui contamine invariablement les relations patient-médecin.
En même temps, ça fait l'affaire des psychopathes technocratico-mondialistes de subjuguer les médecins afin de les faire mal paraître auprès de leurs patients.
C'est tordu, comme le reste de l'attaque contre le peuple.
Source: Ma publication, dans VK et Facebook
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Ça parle de la France mais ça confirme qu'au fond, c'est à peu près le même script contre le peuple qu'au Québec.
Maintenant, selon le professeur Perronne, les médecins passent plus de temps avec leur ordinateur (tâches administratives) qu'avec leurs patients.
Voici ce que j'en pense.
C'est aussi ça la montée de la technocratie où les fictions administratives artificiellement surmultipliées prennent invariablement le pas sur le temps consacré aux patients.
Soigner les patients devient secondaire, après la course folle des médecins après les cortèges de formulaires, de règles et de suivis exigibles.
Sans surprise, c'est le patient qui se retrouve avec un accès plus réduit que jamais aux médecins et même lorsqu'il finit par en voir un, celui-ci a continuellement à l'idée que pour chaque chose qu'il fait ou dit, il devra affronter sans cesse plus de bureaucratie, ce qui contamine invariablement les relations patient-médecin.
En même temps, ça fait l'affaire des psychopathes technocratico-mondialistes de subjuguer les médecins afin de les faire mal paraître auprès de leurs patients.
C'est tordu, comme le reste de l'attaque contre le peuple.
Source: Ma publication, dans VK et Facebook
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