Le 17 mars 2023, Édith Savard a publié ceci...
J'ose espérer qu'il y a encore des parents assez intelligents pour savoir qu'on ne peut respecter l'autre plus qu'on ne se respecte soi-même.
Est-ce respecter ses valeur, se respecter et respecter les enfants que d'accepter qu'ils puisent changer de sexe avant de comprendre ce que ça implique vraiment à tous les niveaux de leur être, et pour leur vie future?
Ce, avant d'avoir atteint la maturité?
Qui n'a pas questionné sa propre sexualité à l'enfance ou à l'adolescence?
Si un enfant veut aller se noyer, est-ce logique de l'accompagner?
Comment se sentira le parent qui a laissé un enfant changer de sexe à 11, 12, 13, 14, 15 ou 16 ans quand celui ou celle-ci lui fera le reproche de ne pas l'avoir mieux conseiller?
Je ne parle pas ici d'homosexualité, je parle de changer de sexe.
Tous, qui que nous soyions, sommes né-e-s avec une vulve, un utérus et des ovaires pour les filles et un pénis, une prostate et des testicules pour les garçons.
Les premières paroles prononcées lors d'un accouchement sont:《 C'est une fille ou c'est un garçon 》.
Disons les vrais mots. Le changement de sexe exige une charcuterie.
Qui est prêt à laisser charcuter son enfant?
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