Voiler la femme, c’est l’enterrer
Posté : 27 mars 2023, 14:30
27 mars 2023
Aragon disait que la femme est l’avenir de l’homme, mais vous musulmans, en la voilant, vous voilez votre avenir, vous pavez la voie pour le monde des ténèbres.
Vous conjuguez l’avenir avec le néant.
Vous faites de votre vie votre deuil et votre mort, quand d’autres font de la lumière le phare qui les éclaire. Le voile des femmes est comme des œillères qui vous empêchent de percevoir le sens de la réalité et d’affronter le monde à visage découvert.
Le voile symbolise vos peurs de l’avenir, votre lâcheté à relever les défis de la modernité.
Vous vous cachez derrière le voile de vos femmes comme un enfant sous la jupe de sa maman.
Vous faites dire à vos femmes que le port du voile est libre et consenti, vous mentez, vous les manipulez.
Le voile est le marqueur de leur assujettissement, de la négation de leur humanité, de leurs libertés les plus élémentaires.
Le voile est pour elles ce que les chaînes sont aux esclaves.
Voiler la femme, c’est l’enterrer de son vivant. Pour vous, la femme est une malédiction, la pire des calamités. Vous la cachez du regard de l’autre de peur que son visage ne dévoile le traitement dégradant et humiliant que vous lui infligez.
Source: © Salem Ben Ammar pour Dreuz
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Aragon disait que la femme est l’avenir de l’homme, mais vous musulmans, en la voilant, vous voilez votre avenir, vous pavez la voie pour le monde des ténèbres.
Vous conjuguez l’avenir avec le néant.
Vous faites de votre vie votre deuil et votre mort, quand d’autres font de la lumière le phare qui les éclaire. Le voile des femmes est comme des œillères qui vous empêchent de percevoir le sens de la réalité et d’affronter le monde à visage découvert.
Le voile symbolise vos peurs de l’avenir, votre lâcheté à relever les défis de la modernité.
Vous vous cachez derrière le voile de vos femmes comme un enfant sous la jupe de sa maman.
Vous faites dire à vos femmes que le port du voile est libre et consenti, vous mentez, vous les manipulez.
Le voile est le marqueur de leur assujettissement, de la négation de leur humanité, de leurs libertés les plus élémentaires.
Le voile est pour elles ce que les chaînes sont aux esclaves.
Voiler la femme, c’est l’enterrer de son vivant. Pour vous, la femme est une malédiction, la pire des calamités. Vous la cachez du regard de l’autre de peur que son visage ne dévoile le traitement dégradant et humiliant que vous lui infligez.
Source: © Salem Ben Ammar pour Dreuz
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