- https://gregreese.substack.com/p/eviden ... -id-system
- Source alternative, dans BitChute
- La vidéo du 17 février 2024 de la Dre Ana Maria Mihalcea qui explique en détails ce qui se passe, photos à l'appui
Voici la description officielle, sous la vidéo de Greg Reese:
Émotionnellement, il est facile de rejeter le travail du docteur Ana Maria Mihalcea car il est très perturbant.
Cependant, son travail est démontré par des tests scientifiques et étayé par des documents gouvernementaux et d'ONG. Et les preuves montrent que l'humanité a déjà été infectée par une nanotechnologie de surveillance de pointe. Ceci fait suite à mon dernier rapport sur la recherche d'hydrogel du Dr Mihalcea.
De nouvelles recherches montrent que ceux qui ont reçu les injections contre la COVID émettent une lueur orange fluorescente sur leur visage qui est visible sous une lumière UV de 365 nanomètres. Et ceux qui ont été exposés à la transmission émettent cette lueur autour de leur nez.
Après que sa femme a été contrainte de recevoir l'injection contre la COVID, le docteur Justin Coy, titulaire d'un doctorat, a entrepris ses propres recherches. Il a constaté que plus une personne recevait d'injections, plus elle brillait sous la lumière UV. La lueur peut être observée initialement autour du nez, et avec le temps, elle se propage sur tout le visage et dans le cou.
Après une douche chaude, des filaments sont expulsés à travers la peau des personnes vaccinées.
Ces filaments émettent également une lueur sous la lumière UV.
Non seulement ces filaments brillent, mais on a montré qu'ils se déplacent de manière spasmodique. De plus, ils sont attirés par les personnes. Dans des vidéos, on peut les voir essayer de se fixer à un doigt. Et lorsque la peau d'une personne vaccinée est sèche, ces filaments expulsés peuvent devenir aériens. Cela pourrait expliquer comment la transmission se produit des personnes vaccinées aux non vaccinées.
Les documents d'essai de Pfizer indiquaient qu'une personne non vaccinée en proximité étroite avec quelqu'un qui a été vacciné peut être infectée par inhalation et contact cutané.
En 2008, un pesticide de nanotechnologie biologique conçu pour tuer le papillon brun dans l'État de Californie a été déployé et semble avoir inclus le même type de colorant microscopique fluorescent invisible que celui que l'on observe dans la recherche scientifique. Le docteur Hildegarde Staninger a testé des individus exposés à ce pesticide nanotechnologique et a constaté qu'une lueur pouvait être détectée dans leurs yeux sous la lumière UV. Le docteur Staninger a appelé cela l'effet de l'Œil d'Horus en raison de son apparence similaire. Elle prétendait que cela était dû à l'utilisation de thiocyanate fluorescent dans le pesticide, ce qui, selon la littérature, aurait été utilisé pour suivre l'efficacité de la dispersion.
Cette idée existe depuis des décennies. L'Institut des études sur la sécurité nationale, dans son document "Armes non létales : termes et références", publié en 1997, discute d'un colorant invisible dans l'infrarouge qui est visible sous la lumière UV afin que les émeutiers puissent être identifiés ultérieurement.
Justin Coy souligne comment le code génétique de la luciférase, une enzyme bioluminescente présente dans la nature, est inclus dans les vaccins de Pfizer et Moderna, ainsi que le SV40, ce qui pourrait théoriquement permettre à la luciférase d'être inscrite dans la génétique du destinataire. Coy suggère que cela pourrait être la cause de la lueur observée chez les personnes vaccinées sous la lumière UV.
Le projet de loi TRACE, H.R.6666 - Loi sur les tests, le suivi et la mise en contact de la COVID-19, a été présenté en mai 2020. Le projet de loi autorise les Centers for Disease Control à effectuer une recherche des contacts et à surveiller la population.
À la fin de 2020 et au début de 2021, des gens du monde entier ont commencé à remarquer des lampadaires violets. Il s'agit de la couleur de la lumière UV.
La recherche sur le tatouage à points quantiques financée par la Fondation Bill et Melinda Gates a fourni un moyen de détecter si une personne était vaccinée en incluant des informations médicales fluorescentes dans les vaccins. Des tatouages invisibles dans le proche infrarouge qui s'imprimeraient sous la peau pour être lus ultérieurement par des smartphones personnalisés. Dans la littérature scientifique sur la recherche des points quantiques, ces tatouages d'informations médicales fluorescentes ont une apparence similaire aux visages de ceux infectés par le vaccin sous une lumière UV.
Vous pouvez croire ou non aux prophéties bibliques, mais il semble clair que ceux qui dirigent ce programme diabolique l'utilisent comme leur guide. Selon l'Apocalypse 13 :
"Et la deuxième bête exerçait tous les pouvoirs de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie."
Mais n'oublions jamais que nous avons toujours le libre arbitre.
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