Les Canadiens et les Québécois qui sont CONTRE l'horrible projet de Traité sur les pandémies de l'OMS doivent se faire entendre et passer à l'action pour que le Canada refuse d'en faire partie... ou de l'appuyer.
Et le temps presse puisque le vote pour ce scandaleux Traité a lieu le 24 mai 2024.
Donc...
Il faut agir maintenant. Encore et encore, d'ailleurs, jusqu'à ce que le Canada dise NON à ce Traité de l'OMS.
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Pour vous aider dans la démarche d'écriture d'une lettre à votre député fédéral, voici le modèle de lettre que Monique Brisson a envoyé à sa députée bloquiste Louise Chabot.
Il s'agit d'une lettre initialement écrite par Gilles Bellerose mais qu'elle a adapté pour ses propres besoins.
Chère Madame LOUISE CHABOT
Je prends la liberté de vous écrire au nom de nombreux citoyens de notre ville,
Concernant un traité qui sera présenté à l’OMS lors de son assemblée mondiale de la santé le 24 mai prochain.
Ce traité propose de donner à l’OMS une autorité supérieure celle de nations lui permettant de déclarer un état d’urgence, d’ordonner des confinements et des vaccinations obligatoires sans que les États ne puissent intervenir.
Si ce traité est adopté, cela accorderait des pouvoirs considérables au directeur de l’OMS sans consultation des États, des parlements ou des gouvernements, les obligeant à obéir sans réserve.
Il est préoccupant de constater que ce sujet crucial n’a pas été abordé dans les débats publics ni à l’Assemblée nationale, ni dans les principaux médias.
Ce traité, s'il était mis en œuvre, aurait un enjeu social crucial dans les années à venir.
Je vous encourage donc à prendre publiquement position sur cette question.
Êtes-vous favorable à accorder un pouvoir contraignant à l’OMS sur les États, au détriment de leur souveraineté en matière de santé et d’environnement?
Êtes-vous conscient que chaque pandémie des vingt dernières années pourrait servir de prétexte à l’instauration d’une gouvernance mondiale autour de la santé de l’environnement et de l’identité numérique?
Ce traité risque de nous plonger dans un état d’urgence sanitaire ou climatique quasi permanent où les États seraient contraints d’appliquer sans discussion toutes les décisions de l’OMS.
Nous pourrions nous retrouver dans une situation où le directeur général de l’OMS pourrait déclarer une pandémie pour une maladie mineure et imposer des mesures liberticides, telles que la fermeture des frontières ou l’administration obligatoire de traitements médicamenteux non éprouvés. Sans possibilité d’opposition.
Tandis que j’ai votre attention, j’aimerais que vous preniez également position dans le dossier de la loi C-63 qui permettrait d’emprisonner quelqu’un qui est soupçonné de propager de la haine sur les réseaux sociaux.
Alors que la haine peut être interprété de différente manière par un juge.
La question est peut-on se fier sur un juge qui soit dit en passant, ont été augmenter de 22 à 50% de leurs salaires pour passer le message du gouvernement?
J’ai toutes les bonnes raisons de croire que non Mme la députée.
Jamais auparavant une telle menace contre nos libertés fondamentales et notre souveraineté n’avait été envisagée
Il est temps de s’interroger sur les véritables intentions derrière ces initiatives et de s’opposer fermement à toutes tentatives de restreindre davantage nos droits démocratiques.
Je vous incite à considérer attentivement ces questions cruciales
Et à les placer en tête de vos priorités politiques.
Je reste à votre disposition pour discuter de ce sujet plus en détail si nécessaire.
Je vous remercie de votre attention et espère que ce message suscitera une réflexion approfondie de votre part.
Bien cordialement, Monique Brisson
Cette lettre peut évidemment être adaptée selon vos propres besoins et préférences.
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