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Les feuilles de pissenlit contre la protéine Spike

Posté : 30 juin 2021, 18:29
par cgelinas
Ce n'est pas moi qui le dit, ça sort tout droit de cette étude intitulée "Le pissenlit commun (Taraxacum officinale) bloque efficacement l'interaction entre le récepteur de surface cellulaire ACE2 et la protéine Spike D614 du SRAS-CoV-2 ainsi que les mutants D614G, N501Y, K417N et E484K, in vitro", datée du 19 mars 2021.

Notre recherche a été menée en utilisant des extraits à base d'eau de feuilles de plantes.

Nous avons constaté que les extraits de feuilles bloquaient efficacement la protéine Spike ou ses formes mutantes sur le récepteur ACE2, utilisé en pré- ou post-incubation, et que les composés de poids moléculaire élevé étaient responsables de cet effet."

Des feuilles de pissenlit.

Si ce n'était pas des compagnies d'empoisonnement des surface gazonnées, on aurait plein de beaux pissenlits partout autour de nous, au Québec mais c'est devenu dangereux d'en cueillir, en milieu urbain. Trop d'arrosages avec des produits toxiques qui ont spécifiquement pour objectif de tuer... les pissenlits.


Les auteurs de l'étude indiquent aussi à quel point ça a fonctionné, pour eux:

L'infection des cellules pulmonaires humaines A549-hACE2-TMPRSS2 à l'aide d'un lentivirus pseudotypé SRAS-CoV-2 a été efficacement prévenue par l'extrait.

Si vous cherchez des feuilles de pissenlit, il y en a ici (prenez note qu'en anglais, pissenlit se dit "dandelion") et si vous avez la chance d'habiter dès d'un champ qui n'a pas été arrosé avec des produits toxiques, alors vous devriez aller en chercher, dès maintenant (si vous lisez ceci, en saison, évidemment).

Il s'agit de faire bouillir les feuilles de pissenlits dans de l'eau chaude et de boire celle-ci, ensuite.

La médecine naturelle a des lettres de noblesse que la médecine allopathique, chimique et chimérique n'a pas et n'aura jamais. La médecine allopathique peut rendre d'excellents services mais pas toujours et le COVID-19 en est un bon exemple.


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J'ai une copie de l'étude ici, au cas où l'original serait retiré.

Pour ceux qui cherchent ma publication sur l'acide shikimique, elle est ici.




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